Trappes est la ville où habitent près de 400 fichés « S » avec un grand nombre de jeunes partis rejoindre les troupes de Daesh en Syrie.
C’est là qu’enseigne un professeur de Philosophie Didier Lemaire, depuis 20 ans. Défenseur de la laïcité entendez par là, de la France qui se bat contre l’Islamisme. Il participe à un livre en 2015 qui dénonce l’islamisation rampante, il mène des actions de prévention par des cours et des activités culturelles. Il écrit une lettre à E. Macron avec Jean Pierre Obin (L’ex-haut fonctionnaire, qui alertait dès 2004 sur les atteintes à la laïcité, dénonce le déni qui persiste dans l’Éducation nationale.) auteur de « Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école ». Après l’assassinat de Samuel Paty – lui aussi passé à la trappe depuis – il écrit une lettre ouverte pour dénoncer cette situation gravissime.
A partir de là commence les menaces de mort, dans une indifférence totale du maire.
Le maire de Trappes Monsieur Ali Rabeh, qui s’est justement fait élire grâce à ses réseaux, se dit confronté au problème de l’islam radical, mais ne trouve rien d’autre à faire que de stigmatiser le professeur de philosophie Monsieur Didier Lemaire en cherchant à le faire passer pour un déséquilibré. dans cette affaire c’est qu’il a eu le soutien du préfet. Le Ministre de l’Education Nationale a apporté son soutien au professeur.
La France prudente, n’a de cesse d’inventer une terminologie inadaptée pour ne pas stigmatiser l’islam. Ainsi « l’islamisme » pour désigner la succursale de l’islam radical, a été inventé pour éviter la « stigmatisation » terme allant de pair avec islamisme.
Maintenant un nouveau terme est apparu « le séparatisme » comme étant un phénomène sociétal et non spécifique aux musulmans, qui frappe des groupes sans distinction qui refusent la culture et l’identité française, alors nombre d’entre eux sont de nationalité française. Dans le même temps, les représentants de la république n’osent pas retirer la nationalité française à ceux qui s’en servent que pour mieux assoir leur culture en France. On se souvient de la lâcheté de François Hollande, à ce sujet de la déchéance de nationalité à la suite des attentats du 13 novembre 2015 qui ont fait plusieurs dizaines de victimes en France. L’islamo-gauchiste bien implanté, fait ses ravages chaque jour grâce entre autres à la France insoumise et aux Verts.
Qui des deux est vraiment menacé d’être décapité ?
Depuis la polémique autour des propos de Didier Lemaire, victime de menace, c’est Ali Rabeh qui se dit être la cible de nombreuses insultes racistes et menaces de mort qui l’ont amené à déposer plainte au commissariat.
Une enquête a été ouverte pour des menaces de mort à l’encontre du maire de Trappes, Ali Rabeh, a indiqué ce samedi 13 février le parquet de Versailles. Selon le parquet, l’ouverture de cette enquête, qui a été confiée à la police judiciaire des Yvelines, est consécutive à un signalement sur la plateforme Pharos, où l’on peut communiquer des contenus illicites en ligne. Déjà sous surveillance depuis une semaine, le maire Génération.s (parti de Benoît Hamon) de Trappes a confirmé bénéficier dorénavant d’une protection policière. Quant à B. Hamon dans un message publié hier il déclare « Nous le soutenons face au déferlement de haine, venu de tous bords, qui s’abat sur lui pour avoir eu le courage de se dresser pour rétablir la vérité. En tant que maire, et militant dans sa commune depuis de nombreuses années, il défend au quotidien les valeurs de la République, et combat ceux qui l’attaquent. Ce dernier (B. Hamon) n’a pas apporté son soutien au professeur D. Lemaire qui se bat pour la république, mais pour le maire élu.
C’est dans ce contexte que V. Pécresse et R. Muselier réclament la « révocation » du maire.
Les présidents de région Valérie Pécresse et Renaud Muselier réclament dans un communiqué la « révocation » du maire de Trappes Ali Rabeh, qui aurait selon eux distribué dans un lycée un tract « attaquant frontalement » le professeur Didier Lemaire.
« Cette intrusion dans un lycée, pour attaquer un peu plus encore un professeur déjà pris pour cible et sous protection policière, est inacceptable », écrivent-ils. Les deux élus de droite « demandent au ministre de l’Intérieur la suspension immédiate du maire et des adjoints de Trappes, et le déclenchement de la procédure pour leur révocation ».
La France républicaine de Trappes
Dans un communiqué s’adressant aux élèves du lycée de la Plaine de Neauphle visible sur Twitter, Ali Rabeh indique qu’il « n’accepte pas les propos virulents tenus contre vous et les Trappistes, qui condamnent par avance, qui relèguent, qui excluent. C’est insupportable car c’est injuste et ça ne correspond pas à la réalité ». « Ne laissez jamais dire que vous ne valez rien et que vous êtes perdus pour la République. Quelles que soient vos qualités, vos difficultés, vous êtes notre fierté et notre espoir. Comptez sur moi pour me battre à vos côtés pour que vous obteniez le respect qui vous est dû », continue-t-il.
L’islamo-gauchisme en plein action
Plusieurs élus de gauche ont également apporté leur soutien au maire de Trappes, à l’instar du Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure et du président du groupe PS au Sénat Patrick Kanner. « Solidarité avec Ali Rabeh qui fait face à des menaces glaçantes. Il serait grand temps que cesse l’emballement médiatique et politique et que chacun s’en tienne à la vérité et aux faits », a écrit le premier sur Twitter.
Le député européen LFI Manuel Bompard s’est étonné de voir Valérie Pécresse reprocher au maire de Trappes de distribuer une lettre à des lycéens quand « elle ne se gêne pas pour mettre un mot dans tous les manuels scolaires de la région » (en 2019, elle avait inséré une missive dans des manuels de seconde et de première, ndlr). Le maire de Grenoble Éric Piolle (EELV) a aussi apporté son soutien à Ali Rabeh, « au chevet de la République du matin au soir ». « Caricaturer les problèmes qui existent ne peut que les amplifier », a-t-il twitté.