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Ibrāhīm al-khālil : Abou al Enbiya.
Ibrāhīm al-khālil, yyalihi Assalam, a un rôle très important dans l’histoire des musulmans. Il est le fondateur du culte monothéiste. Il est Abou al Enbiya , le père de l’humanité. Il est mentionné dans 25 sourates (chapitres) du Coran. La 14eme sourate, composée de 52 versets porte son nom. Ibrāhīm al-khālil au sein de l’Islam est un envoyé de Dieu. Il reçoit l’épithète de siddick (juste), hanif (pur), khalil (ami).
+ Conférence-Abraham2+
Les scientifiques le situent entre 2000 et 1700 avant notre ère.
Il est né et a grandi dans la région d’Ur des Chaldéens, son père Azar, (Térah dans la Bible), qui est descendant lui-même de Noé à la neuvième génération. Noé engendra trois fils : Sem, Ham (Cham), et yafit (Japhet). Il est l’ancêtre du patriarche Ibrahim al Khalil, par Sem, le père des Sémites de la branche araméenne. Il avait deux frères : Nahor et Harân.
Cet épisode, évoqué dans la sourate 37, ressort au thème coranique de l’épreuve (balâ’), qui agit comme une véritable pédagogie spirituelle à l’adresse des croyants. Le Patriarche a subi avec succès maintes épreuves. L’une des plus intenses fut sans doute ce songe au cours duquel le patriarche se vit en train d’immoler son fils : épreuve suprême de soumission à Dieu que de se croire contraint d’égorger son fils !
Face aux incrédules comme dit le Coran, Dieu envoie le Déluge sur toute l’humanité pour quelle renaisse et devienne meilleure. (Dans la Genèse, il est écrit face à méchanceté de l’homme).
Pour les sceptiques, des scientifiques ont bien démontrés que la terre de Sumer est bien le berceau du Déluge, estimé à six ou sept millénaires de notre ère.
(Avant d’être chiites, sunnites, chrétiens, ou juifs les hommes se considèrent mésopotamiens, descendant de Sumer).
Cham engendra Coush, qui, dans la tradition islamique, engendra Nemrod, un despote qui s’opposera à Ibrahim al Khalil. Nemrod héritera à sa naissance des tuniques d’Adam et d’Eve. Ces tuniques confèrent des pouvoirs surnaturels. (Vizir, ministre du roi, sculpteur d’idoles), Ses oracles consultés (célestes et terrestres) lui annoncent une prophétie stupéfiante : la naissance d’un garçon au destin plus immense encore que le sien, nommé Abram. Il tente d’abord d’acheter Abram à son père, pour l’éliminer. Le père substitue le nouveau né d’une esclave, Nemrod lui fracasse le crâne, pour mettre fin à la menace. Il ordonnera l’exécution des enfants mâles qui viendraient au monde.
La mère d’Abram est appelée Usha dans la tradition islamique. Effrayée par la violence d’une vision prophétique, quelle vient de vivre en songe, elle jette son nouveau né dans l’Euphrate, mais une panthère recueille le petit et l’allaite.
On voit là que les emprunts des mythologies et traditions sumériennes, bibliques, coraniques et grecques sont fréquents dans les littératures des pays du golfe Persique, de la mer Rouge, et des rives orientales de la Méditerranée. Se croyant invincible, il se lance à l’assaut du ciel, érigeant la tour de Babel. Cette tour se dresse sur 47m, au lieu dit Borsippa.
Plus retenu dans la tradition Islamique : la future mère se retire dans une grotte des marais du Sud chaldéen, où elle met au monde Abram, elle l’y cache durant treize années, le confiant à une nourrice et à un sage, tradition reprise par l’historien al-Tabarî. Usha avoue avoir accouché d’un fils, mais prétendit qu’il était mort. Elle le gave avec le lait de son sein, puis refermant la caverne d’une grande pierre, pour le protéger des animaux et des hommes. Quand elle revint, Ibrahim suçait son pouce d’où coulait du lait que Dieu lui procurait, comme si le nourrisson puisait à la mamelle.
Scène de la fournaise dans le manuscrit turc de 1583 des Zubdat al-Tawarikh de Luqman-i-Ashuri.
Abram est troublé par son père Térah et son frère Nahor qui, tous deux, gèrent une fabrique les idoles pour la célébration des nombreuses divinités. Abram répare certaines tombées à terre, d’autres mésaventures, celles des cinq statues, brisées, qui sont jetées dans une rivière, où il les voit s’enfoncer. Dans le Coran des sourates s’élèvent contres les idolâtres et certaines abordent le conflit entre Abram et son père, celui surtout de la sourate Marie. L’énigme des pierre constituant les statues bouleverse Abram. Abram, en crise, en vient à renier publiquement les idoles, les brise et les incendie. Plus de trois mille ont été référencées par les scribes. A Ur règne bien sûr Sîn, le dieu-lune. Des simulacres, des sortes de messes, censées apporter la transcendance à leurs d’argile et de marbre, dans un sabbat expiatoire, et une société païenne et polythéiste. Lui seul croit en l’unique Créateur. On le fustige, on le blâme. Opiniâtre dans sa volonté de répéter ses convictions jusqu’au désespoir. Dieu a donné une conscience et le sens de celle-ci, ce qui lui permet de se rapprocher du bien, tout simplement. Lorsque Nemrod emprisonne Abram pendant quarante jours sans nourriture, celui-ci sortit indemne de ce jeûne forcé, Nemrod le fait jeter dans la Fournaise ardente où Abram refusa l’aide de l’Ange Gabriel. Le feu ne l’a pas brûlé, les flammes s’élevaient mais restaient froides. Une source jaillit à ses pieds ….autant de signes miraculeux qui prouvèrent au monarque la puissance du Dieu d’Abram.
Points de vue des religions monothéistes sur le patriarche Abraham organisés par l’association UDEA.
II reçoit de Dieu (Allah) l’ordre de quitter sa demeure (d’après une tradition, Ur en Chaldée, d’après une autre, Harran, dans la haute Mésopotamie) pour une destination inconnue et cela sur la foi de magnifiques promesses adressées à lui et à sa future postérité.
Dieu dit à Abraham dans la Genèse : ” Eloigne-toi de ton pays, de ton lieu natal et de la maison paternelle et va au pays que je t’indiquerai. Je te ferai devenir une grande nation; je te bénirai, je rendrai ton nom glorieux, et tu seras une source de bénédiction. … Et par toi seront bénis tous les peuples de la terre “
Les paraboles, les contradictions se succèdent et se heurtes dans les Ecritures. Les exégètes recommandent-ils des lectures accompagnées, et comparées, afin d’éclairer le novice. La recherche du sens, en remplaçant les récits dans l’époque et contexte socio-historique où ils ont été rédigés. Les turcs assurent qu’Abram est né en Turquie, à Harran et non dans la région de Ur des Chaldéens, en Irak.
L’exode effectué par le patriarche, en Egypte, puis vers le lieu qui deviendra la Mecque, représente plus du double du chemin. Qu’ils soient chiites ou sunnites, turcs, irakiens, iraniens ou syriens, les pèlerins ravalent leur hostilité millénaire pour venir se prosterner à Sanli-Urfa. Le symbole unificateur de Pays du Patriarche se perpétue, au-delà des querelles et des conflits ancestraux.
Selon les autorités scientifiques, politiques, universitaires et religieuses turques Abram est né à Urfa où s’est déroulé l’épisode de la « Fournaise ». Nemrod avait déposé Abram, enchaîné, au centre de la catapulte qui se dresse entre les deux colonnes, d’où il sera projeté au cœur de la « Fournaise ardente» et son père, à la vue de son fils près de mourir, pousse son dernier soupir. Au moment où Abram se trouve dans les airs, envoyé aux flammes, l’ange Gabriel, agissant sur l’ordre de Dieu, le saisit et le maintient dans les cieux. Le feu se transforme en source. Nemrod confus, En hommage au miracle que je viens d’assister, je t’offre ces richesses (bœufs, brebis, etc.) et l’un de mes fils que j’ai eu d’une esclave, ayant pour nom Eliézer, il te servira jusqu’à la mort. Dans la traditions islamique, devant le miracle inouï auquel il vient d’assister, Nemrod reconnaît son échec et s’adressant à Abram, il lui dit : A présent, je crois en ton Dieu.
Orphelin, il vient de surmonter la deuxième des dix épreuves voulue par Dieu. Il reçoit la Voix, cette Voix qu’il entend pour la première fois. « Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père pour le pays que je t’indiquerai…etc. »
Le benjamin Harân, serait mort à Ur, après avoir engendré un fils nommé Loth.
Abraham part, accompagné de sa femme Sara et de son neveu Loth, fils d’un frère défunt; décide de partir du pays de Babylone. Il arrive au pays de Chanaan, près de Sichem. La divinité lui apparaît et lui promet la possession de la contrée. Voilà, sur sa route Mari, la prestigieuse capitale du Moyen-Euphrate, qui démontre l’importance que représentaient les échanges commerciaux, des siècles avant Abram, (au IIIe millénaire), jusqu’à sa destruction par les troupes du roi Hammourabi.
Abram et son père n’ont d’autres projet que celui de fuir, et retrouver leurs frères établis à Harran. Ils passent à Nadjaf, la quatrième ville sainte de l’islam, après la Mecque, Médine et Jérusalem. (Natif de Nadjaf, la cité d’Ali, quatrième Calife, et gendre du Prophète, abrite le magnifique mausolée du « Prince des Croyants », recouvert par 7777 briquettes d’or pur.
Une maison du quartier de Berzé dans les faubourgs anciens de Damas, un énième lieu de naissance d’Ibrahim. C’est ce que la légende à transmis et qui se répercute sur les générations futures.
Sur une enluminure ottomane, Gabriel arrête le bras d’Abraham prêt à sacrifier son fils que la tradition islamique identifie à Ismaël.
La tribu progresse moins vite. Nahor est resté à Harran. Sarah et Loth font partie du voyage avec trois cent dix huit serviteurs du roi, convaincus par les propos du sage, ont décidé de le suivre et de le servir. L’élu vient d’accomplir sa troisième épreuve. Il a « soixante quinze ans ». Les Ecritures annoncent des longévités canoniques : Alulim, 28 800 ans, Dumuzi 36 000, jusqu’au doyen Enmenluana qui défia le temps durant 43 200 ans. Adam a vécu 930 ans. Mathusalem atteignit 969 ans, Noé 950 ans. Le père d’Abram 205 ans, Abram 175 ans et plus tard Moïse 120 ans. La Voix continue de retentir. Il obéit et marche avec les siens, sans même savoir où il va. Dans l’islam, la double idée de migration et de religion, est contenue dans sa pérégrination qu’on appelle, en arabe, la « Milla d’Ibrahim ». Les musulmans, muslim, sont des soumis, impliquant l’idée de s’en remettre à l’Eternel. Le Coran diverge de la Bible, entre autres exemples : le chemin qui mène Abrahim avec son fils Ismaël, jusqu’à la Mecque où ils bâtiront ensemble la Kaâba, ou encore le Sacrifice D’Ismaël et non Isaac, etc.
Cette fois à Sichem, les textes disent que Dieu « lui apparaît ». Le Très –Haut lui apparaît, le Tout-Puissant voulait se révéler aux hommes. Abram fait bâtir un premier autel à Dieu. Cette prophétie va changer le cours de l’Histoire.
Sur le mont Mina, (Guérizin dans la Thora), le lieu saint où notre ancêtre a offert le sacrifice de son fils Ismaël (Isaac dans la Genèse).
A noter que les Samaritains, une communauté religieuse composée d’un peu plus de sept cents membres, prénomment leurs enfants avec des prénoms juifs, en ajoutant un prénom musulman.
Sarah resplendit d’une beauté jamais égalée. Les textes islamiques se surpassent en descriptions des plus merveilleuses à son égard. Connaissant la réputation des Egyptiens, avec leur débordement sexuel, Abram l’avait caché dans un coffre pour franchir la frontière. Héla un garde ouvrit la malle et fut stupéfié par sa beauté. Sa renommée parvint aux oreilles du monarque Pharaon. La narration qu’en fait le Coran « Dis, je te prie que tu es ma sœur etc. »
Répondant à l’appel de Dieu, Abraham a quitté son pays, en Mésopotamie , pour aller vers une terre promise, le pays de Canaan, aujourd’hui la Palestine. Abraham rencontre Melchisédech, le roi de Salem c’est-à-dire de la future Jérusalem. Les deux hommes se saluent. Le roi Melchisédech rend grâce à Dieu en lui présentant le pain et le vin, et il partage l’offrande avec son hôte. Melchisédech dont le nom signifie « mon roi est justice » est vu comme un roi mais aussi et surtout comme un prêtre, on le coiffe d’un bonnet ou d’une mitre, et on l’habille d’une robe. Souvent il offre lui-même le pain et le vin dans un calice, à la façon d’un prêtre chrétien.
Suite : Abram et Loth je jettent en prières, l’ange Gabriel intercède, Pharaon ne peut abuser de Sarah. Milles maux s’abattent sur le Palais, la lèpre etc.
Le Pharaon libère Sarah et offre l’une des filles qu’il a eues avec une concubine, nommée Hagar. La version islamique précise qu’au moment où le Pharaon sent ses désirs pour Sarah, la captive prononce quelques paroles de malédiction : « que la main qui cherche à toucher une femme qui appartient à un prophète devienne sèche ». Puisqu’il ne procréa pas Abram abandonne à Loth ses plus belles terres. Dispute avec Loth « Sépare-toi de moi ? Si tu prends la gauche, j’irai à droite ! » La tradition islamique raconte qu’il s’établit, avec les siens en pays Canaan, avec Sarah et Hagar. La disette les accablent.. Les femmes fouillent la besace, qui remplit de sable, elles trouvent de la fleur de farine. Le vertueux comprend alors qu’il doit ce miracle à la puissance de Dieu.
Aux chênes de Mambré, on lui annoncera l’enlèvement de Loth et surtout sa postérité. Le massacre d’innocents, à Sodome et Ghomore ne peut laisser Abram indifférent. De cet épisode seront tissés des interprétations et de nombreux récits merveilleux. Après tant d’années d’amour et de vie ensemble, Sarah n’a toujours pas donné d’enfant à son mari. Aussi lui offre-t-elle sa servante Hagar, suivant une coutume mésopotamienne, une femme stérile a le droit de donner à son époux sa servante, afin qu’elle procrée. Hagar enfantera Ismaël, Ibrahim est âgé de quatre vingt dix ans.
Un différend naît entre les deux femmes et Sarah chasse Hagar. La version islamique prête même. A l’épouse légitime des intentions meurtrières « Il faut que je lui coupe quelques chose ». Elle parvint à circoncire Hagar, opération qu’elle entend, pour la justifier, d’abord à elle-même. (Ablation du clitoris).
Maltraitée Hagar fuit dans le désert avec son fils Ismaël. Pour l’Islam , le récit de ces faits s’inscrit de manière fondamentale, puisqu’il est constitutif de l’Histoire des Musulmans. Au milieu des sables, une tache d’eau apparaît, grâce à Jebril, l’Ange Gabriel. Le lieu situe ainsi le premier sanctuaire de l’Islam, la Kabaa, et le puits de Zemzem. Le garçon grandit et épouse une femme égyptienner que l’on nomme Méribah, avec laquelle il divorcera, en raison de son éternelle mauvaise humeur. Le patriarche va avoir quatre vingt dix neuf ans quant la 8 e épreuve, celle de l’Alliance par la Circoncision. Ton nom sera Ibrahim et non plus Abram. IbrahIm, dit le Coran, n’était ni juif, ni chrétien, mais le premier vrai croyant, « soumis » à Dieu. El KHALI « l’ami de Dieu » chez les musulmans. Il est le premier des croyants. Il pouvait lire et écrire dans la langue de Sumer et parler l’akkadien, comme la plupart des lettrés de ces temps. Ibrahim représente aujourd’hui, le plus fort symbole unificateur des religions monothéistes, celui qui a cru en la perfectibilité de l’homme et l’a tiré de son égarement. Les relations d’intelligence et de dialogue existent entre ceux Juifs, Chrétiens, Musulmans entre ceux qui le veulent absolument. Tout homme est sans cesse confronté au bien et au mal. : « Qui poursuit la justice et la miséricorde trouvera vie, justice et honneur ». Abraham (en hébreu : père d’une foule; en arabe : Ibrāhīm al-khālil, l’ami privilégié (de Dieu)). C’est un personnage de la Torah, de l’Ancien Testament et duCoran. Il est considéré comme le père du monothéisme.
Abraham est donné comme le modèle du musulman car il se soumet à Dieu même lorsque l’ordre divin peut sembler absurde. Dieu vient de lui promettre une nombreuse descendance et lui demande dans le même temps d’immoler son fils unique. LE SACRIFICE D’ABRAHAM : Dans cette tradition, Abraham s’apprête au sacrifice de son fils unique se privant ainsi de toute descendance, lorsqu’un ange arrête son bras et qu’Abraham aperçoit un bélier (ou un bouc) qu’il sacrifie alors à la place de son fils. Ce fils unique, avant la naissance d’Isaac, est Ismaël, né de Agar, servante égyptienne de son épouse Sarah. Quand Isaac naît de son épouse, celle-ci fait chasser Agar et Ismaël. Les Arabes considèrent que Ismaël est leur ancêtre. La tribu du prophète Muhamed ainsi que toutes les tribus arabes seraient des descendants directs d’Ismaël.
La Bible et le Coran reprennent tous deux l’histoire d’Abraham acceptant d’immoler son fils en holocauste à Dieu. Ce geste est fondateur de l’acte de foi parfait demandé par Dieu à Abraham, auquel il vaut dans la Bible l’Alliance, et dans le Coran le fait d’être considéré comme le premier des musulmans, à cause de son acte de soumission totale à Dieu. Mais alors que dans la Bible, l’identité du fils est claire – il s’agit d’Isaac – le Coran, lui, ne la précise pas. D’où la question posée par les commentateurs: s’agissait-il d’Isaac, fils de la femme libre, ou d’Ismaël, fils de la femme servante ?
La tradition musulmane la plus générale ne se prononce pas. En effet : « Lorsqu’ils se furent tous deux abandonnés à la volonté divine (aslamâ) et qu’Abraham eut couché son fils le front contre terre, Nous l’appelâmes : ” Ô Abraham, tu as ajouté foi à la vision ! En réalité, la vision qu’a reçue Abraham ne lui intimait pas d’immoler matériellement son fils, mais de le consacrer à Dieu. Nous rejoignons ici la tradition judaïque. Enfin, le silence coranique sur l’identité du fils sacrifié – ou sanctifié -, au regard du contexte actuel, peut être perçu comme une source tantôt de rivalité et d’inimitié, tantôt de proximité voire d’intimité entre juifs et musulmans.