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Le Salon Internationale du Livre à Alger du 29/10 au 10/11 2018.
Salon International du Livre à Alger
Invité au Salon du Livre à Alger, par les frères Baghdad, gérants des Editions “La Nouvelle Publication Universitaire” (NPU), un de mes ouvrages sera, ainsi, disponible au pays. Ce salon, à Alger, a pour ambition de réunir des éditeurs algériens et étrangers. Les auteurs donnent des conférences et font des signatures, participent à des débats et tiennent des ateliers. Placé sous le haut patronage du Président de la République et organisé par le Ministère de
L’entrée du Salon international du Livre à Alger. Cette 23e édition verra la participation d’éditeurs venus de 47 pays étrangers, pas moins de 970 maisons d’édition dont 270 exposants algériens.
la Culture algérien, le Sila met à la disposition du public un nombre d’ouvrages qui avoisine les 300 000, toutes disciplines confondues.
Ma fille Fadela Benabadji, journaliste à Actualité-Algérie, une dizaine d’années avant la décennie meurtrière en Algérie, indique ma présence à Kader Berdjia, le précédent Directeur du Sila. Navigant, à Alger dans l’inconnu, Kader vient à mon secours et me guide à l’intérieur du Sial et c’est avec bonheur que je reçois ses conseils.
Une foule très dense au pavillon des Editions “Casbah”
Car travailler ici à Alger avec certains éditeurs, engager des contrats d’édition, ça n’est pas une sinécure. Nous voilà réunis autour du livre, étonnés – comme si c’était la première fois qu’on le découvrait – que cet objet soit capable de contenir tant de savoirs, d’émotions et de valeurs. Son apport, apparu avec les premiers manuscrits, perdure de nos jours. Et si, en tant qu’objet, il a tendance à se dématérialiser à travers le numérique, il demeure un livre dans son essence et sa vocation initiales…
Kader propose un repas au restaurant Lahlou, qui jouxte le Salon du Livre, nous retrouvons Yasmina Kadra qui se plie à la cérémonie des photos avec les clients du restaurant. Placée sous le slogan «Livre ensemble», cette 23e édition verra la participation d’éditeurs venus de 47 pays étrangers. En tout, ce ne sont pas moins de 970 maisons d’édition qui seront présentes à ce rendez-vous livresque dont 270 exposants algériens. La République populaire de Chine est l’invitée d’honneur et ce, à l’occasion du 60e anniversaire des relations historiques entre l’Algérie et la Chine.
Comme chaque année, les activités du Sila seront aussi riches que variées. Plusieurs personnalités viendront débattre de thèmes précis, présenter et dédicacer leurs ouvrages. Il est attendu, entre autre, la venue de l’ancien ministre égyptien de la Culture ou encore de l’ex-ministre palestinien de la Culture, Yahia Yakhlef.
Le commissaire du Sila, Hamidou Messaoudi, indique que la plupart des intervenants sont Algériens. En effet, 61 écrivains et auteurs algériens participeront
Devant la devanture de la société DEKKAK à Tlemcen, le Directeur Général, Nacer DEKKAK et son ami Bénali BENABDELKADER.
à cette 23e édition aux côtés de 21 invités étrangers. Parmi les auteurs algériens présents citons entre autres Waciny Lared, Amin Zaoui, Kamel Bouchama, Maïssa Bey et Yasmina Khadra ; il a publié dernièrement un roman intitulé ‘Khalil’. A l’occasion des dédicaces, une longue file attendait l’auteur de “Ce que le jour doit à la nuit”.
La superficie occupée par le Salon est de 15 000 mètres carrés,
Au restaurant “L’Ahlou” à Alger, Yasmina KADRA entouré par Kader BERDJIA, ancien directeur du Sial et Foudil BENABADJI
répartis sur trois pavillons : Central, Casbah et Ahaggar. Quand au pavillon G, il sera réservé à la presse et abritera la salle de conférence du Sila.
Il est à noter que l’accès au SILA sera gratuit cette année, une façon singulière d’encourager et de promouvoir la lecture. Si en 2017, 1,5 million de personnes ont déambulé à travers les allées du Salon, cette année, M. Messaoudi a émis le vœu d’atteindre la barre des deux millions de visiteurs pour cette édition.
