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Se baser sur le “savoir” et non sur la “croyance”.
Il ne s’agit pas d’alimenter la nostalgie de l’école d’antan. Il s’agit de mettre à la portée de chacun la connaissance sur les grands phénomènes et les grands enjeux, hors de tout dogme, bref se baser sur le savoir, non sur la croyance.
Toutes les croyances sont à respecter, à condition qu’elles restent dans la sphère privée. Chaque religion, chaque philosophie, chaque individu a sa propre réponse.
Il s’agit de mettre à la portée de chacun la connaissance sur les grands phénomènes et les grands enjeux, hors de tout dogme, bref se baser sur le savoir, non sur la croyance. Toutes les croyances sont à respecter, à condition qu’elles restent dans la sphère privée. Chaque religion, chaque philosophie, chaque individu, a sa propre réponse.
La laïcité est un principe grâce auquel la diversité et la réalité des modes de vie peuvent être prises en compte. Dans ce contexte le Fait Religieux a une place très importante, il s’agit d’une instruction, une formation, une ouverture, une éducation, un enseignement. C’est en instruisant qu’on fait progresser les esprits. Un enseignement de la « morale laïque » à l’école publique, abordant notamment « le sens de l’existence humaine, (…).
Quand un djihadiste passe à l’action,
Le fonctionnement, dans les prisons, est mal préparé à la gestion des nouveaux détenus djihadiste. Les personnes signalées S sont très nombreuses et l’Etat ne peut pas « affecter quelqu’un » pour les suivre tous !
Quand un djihadiste passe à l’action, la France est en ébullition, elle est en émoi. Les journaux ne parlent que de cela, les informations tournent en boucle. Le pays est paralysé pendant huit jours au maximum et le train-train quotidien reprend comme si rien ne c’est passé.
Il ne faudrait pas rester dans la peur mais se poser la question sur les conséquences de ce besoin de tourner la page. Mais d’abord pourquoi ce terrorisme dans le monde ? Se dire aussi qu’il pourrait s’installer sournoisement en France.
On voit bien les tentatives de l’Etat et les nombreuses dispositions prises pour traiter ce terrorisme. Le Ministère de l’Intérieur mobilise toutes les structures de l’Etat avec les acteurs de la société civile, les associations et les collectivités, sans oublier les responsables, en France, des lieux de culte musulmans. Des lois sont votées pour renforcer la législation concernant les djihadistes.
Le Ministre de l’Intérieur donne ordre, à chacun des départements, consigne d’installer des structures « radicalisation ».
L’Etat a décidé, dès 2018, de réaliser des informations sur le territoire, informer la société civile sur la mutation nouvelle des djihadistes en France, qui sévissent depuis longtemps, dans le sport principalement. Chacun des acteurs de la société doit se mobiliser et réagir devant des situations qui pourraient comporter un danger.
Compte-rendu de la réunion réalisée le 28 mai 2018 à l’Université Marcoz à Chambéry en présence du Préfet de la Savoie.
- Eviter la dislocation du lieu social entre les différends acteurs de la société,
- Surtout, signaler tout comportement anormal ; il s’agit de la sécurité publique,
- C’est un acte citoyen, ce n’est pas de la délation,
- Détecter la menace djihadiste, le monde du sport est noyauté,
- Sont concernés par la radicalisation et le terrorisme, les fichés « S »,
- Le phénomène communautarisme idéologique et religieux.
- Il faut installer des éducateurs sportifs dans les quartiers,
- Savoir que des vêtements de sport portant la marque AKHY signifie : « mon frère ? »,
- Que les dangers sont les E.S.R. ! (Educateur Sportif Educateur)
- A retenir : En premier lieu de la radicalisation est installée dans le milieu, du sport,
- En second lieu, l’islam, mais n’a rien à voir avec ces dérives,
- En effet, il ne s’agit pas de jeter l’opprobre sur une religion. Ce n’est pas les musulmans ou l’islam qui seraient la cause !
- L’état structure particulièrement le C.P.D.A., (Comité Interministériel de la Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation).