Le premier criminel était soutenu par son pays le Pakistan. Il déclarait venger l’Islam de caricatures publiées dans l’hebdomadaire français Charlie Hebdo.
Samuel Paty, professeur d’histoire et de géographie, a été décapité alors qu’il rentrait chez lui. Photo : Reuters / Charles Platiau
Le second criminel était soutenu par des djihadistes français et étrangers. Ils « reprochaient » le manque de respect d’un enseignant local envers l’Islam dans ses classes.
La liste des personnes tuées en France par les criminels djihadistes est longue. Des enfants « coupables » d’être juifs, des soldats, des travailleurs, des passants, etc. Il s’agit toujours pour les djihadistes de sanctionner par la mort de personnes les libertés publiques et privées, de créer et maintenir la peur, d’infiltrer les institutions nationales, régionales, départementales, métropolitaines, municipales, les organisations associatives et caritatives, de déstabiliser le pays et d’instaurer progressivement un régime djihadiste en France.
Les djhadistes ne sont pas seuls puisqu’ils parviennent à leur crimes. Ils bénéficient de plusieurs facteurs nocifs.
– L’autocensure de ceux qui ont peur d’être persécuté et de mourir décapité, égorgé, ou autre.
La complaisance de l’autorité publique.(nominations par le chef de l’Etat et le premier ministre de personnes des arts et du spectacles entendues par la police pour incitations à la haine raciale à des postes tels que les conseils des villes présidentiels et du premier ministre.
Le troc de postes régionaux, départementaux, métropolitains, municipaux, à des djihadistes directs et leurs entourages contre la promesse de paix civile et sociale sur les territoires concernés.
Les accommodements des administrations dans les conditions d’accès à des lieux et équipements publics (piscines, stades, etc) au détriment de la règle nationale, égalitaire et républicaine et à l’avantage des usages djihadistes.
Cette liste n’est non-plus exhaustive. Elle ne garantit pas toujours l’impunité totale des publics innocents face aux djihadistes qui s’octroient le droit de tuer pour désaccord avec la majorité sociale de la France.
Elle assure une marge de sécurité régulièrement renouvelée par des accords illégaux avec des islamistes en place de plus en plus efficace et meurtrière.
Tant que les pouvoirs publics maintiendront une complaisance, des accords, des silences avec les djihadistes, tant que des magistrats oublieront la charge de leur devoir en omettant le caractère aggravant d’antisémitisme dans les homicides commis par les djihadistes contre des français juifs, tant que des pans entiers des media relaieront en France, en toute impunité et sans sanction, les thèses djihadistes dans les relations des conflits dans le monde, alors le caractère constitutionnel et les libertés publiques de la France continueront à s’éroder par la violence des djihadistes à l’endroit des personnes et des groupes de personnes qui les gênent dans ce qu’ils déterminent par l’instauration progressive d’un régime djihadiste en France.
Citoyens et élus se sont rassemblés devant le collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine. Photo : Reuters / Charles Platiau
Quant aux hommages posthumes adressés désormais régulièrement par les chef de l’Etat et du gouvernement français aux victimes, elles ont tendance à devenir indécentes. Comment comprendre en effet que l’enseignant décapité et à présent magnifié a pu faire l’objet de menaces, d’injures publiques et privées de la part de parents d’élève et avec une diffusion sur le net? Il eut mieux valu un soutien à la vie qu’un hommage au défunt.
L’impunité & la liberté totale de délinquants islamistes d’un côté, la peur et la mort de la victime « coupable » d’avoir exercé son métier de l’autre, l’équation indique la facilitation objective de la décapitation par l’absence de l’autorité scolaire, civile, de police, et de tout ce qui constitue et représente la Nation.
C’est pour cela que les djihadistes progressent en France.