Après Toulouse, Charlie Hebdo, le Bataclan l’Hyper-cacher, Nice et tant d’autres actes terroristes islamistes, force est de constater que la leçon n’a pas été comprise. Les fascistes de l’extrême droite et de l’extrême gauche poursuivent leur chemin. Les Extrémistes de droite, qui attendent en embuscade de récolter les fruits de la haine et de la peur, celui de la condamnation de l’immigration et de l’étranger, et les islamo gauchistes celui de la pactisation avec ceux qui détruisent nos valeurs, divisent le peuple français, utilisent la concurrence mémorielle, communautarisent notre société et sont responsables de la radicalisation de nombre de nos concitoyens.
Gil Taieb
Ces islamo gauchistes, au nom d’une liberté dont ils ont sali le sens à des fins électoralistes, sont aujour-d’hui responsables du climat de haine que nous subissons.
Comme à chaque attentat terroriste le traditionnel « pas d’amalgame » nous est servi.
Mais qui donc fait l’amalgame si ce ne sont les racistes et les séparatistes ?
Pourquoi cette infantilisation de nos concitoyens musulmans ?
Ce sont toujours les mêmes islamo gauchistes, indigènes de la république, le CCIF et autres organisations séparatistes qui nous envoient au visage ce « Pas d’Amalgame ».
Cela suffit !
Nous sommes tous en guerre contre l’islamisme qui frappe tous ceux qui refusent de se soumettre.
Nous sommes tous, quelles que soient notre origine, notre couleur, nos croyances, en guerre contre cette idéologie mortifère.
Ce combat n’est pas celui de certains citoyens contre d’autres mais celui de tous ceux qui épris de liberté doivent se lever ensemble contre ce nazisme nouveau.
Nous devons tous résister et combattre. Dans cette guerre vitale pour notre vivre ensemble, chacun y a sa place.
Ce sera la meilleure réponse à tous les racistes et fascistes.
Au nom de toutes les victimes de ce terrorisme islamistes, au nom de Samuel Paty, oublions nos différences et faisons Un contre ce danger. Oui ensemble faisons que la peur change vraiment de camp.
J’ai vu un dessin, dans lequel un papa posait à son enfant de retour de l’école la question de savoir si dans sa classe il y avait des chrétiens, des juifs et des musulmans Et L’enfant de lui répondre avec candeur : non papa il y a des élèves !
Agissons vite et fort afin que cette belle réponse devienne notre réponse commune.