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Qui sont-ils : l’Ancien Testament, le Nouveau Testament, les Evangiles, le Coran ?
Mais qui sont-ils… Moïse, Jacob, David, Salomon, Jésus, Marie, Paul, Mohamed, Ali, Confucius, Bouddha, Baha-U’llah ?
Et que savons-nous des religions du monde ? D’où viennent-elles ? A quelle époque ont-elles été fondées ? Par qui ? Quels en sont les rites, les manifestations ?
Nous illustrerons le Judaïsme, le Christianisme, l’Islam, l’Hindouisme, le Bouddhisme, le Confucianisme, le Taoïsme, le Chamanisme, le Vaudou, sans oublier la place et l’enjeu de la LAICITE dans notre société.
Le Concept du Fait Religieux est un sujet dont on parle peu. Il s’agit d’appréhender son Histoire pour mieux saisir le but.
Des les premières décisions de l’Etat et de l’adoption de la Laïcité, nous avons noté une perte inquiétante de références culturelles et les conséquences sur la compréhension de l’Histoire, la Littérature, des Arts, sur la marche du monde moderne. Lionel Jospin, en 1989 demande une étude.
Le philosophe Régis Debray dénonce « l’analphabétisme religieux ». Les religions doivent être étudiées avec des méthodes du raisonnement scientifique, relevant davantage de la Sociologie et de l’Anthropologie que de la Foi. Voir le document complet :
LE FAIT RELIGIEUX présention générale
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Le Fait Religieux dans l’histoire pour le vivre ensemble.
Depuis l’institution de l’école républicaine, le fait religieux divise les français. Pourtant, il s’agit d’un véritable élément de civilisation … un lien qui structure l’humanité. Il s’agit, au nom de la sauvegarde des humanités, de rendre possible la transmission des cultures religieuses.
La notion de laïcité républicaine comme la liberté de conscience et du culte, mais aussi la liberté d’intelligence, permet de voir dans l’enseignement du fait religieux une visée démocratique qui se doit d’être davantage équilibrée. L’opinion française, dans sa majorité, approuve l’idée de renforcer l’étude du religieux dans l’école publique. Le but n’est pas de remettre « Dieu à l’école » ! Nous ne sommes pas là pour faire le catéchisme [1] !
Mais comment comprendre le 11 septembre 2001 et nos propres évènements, en France, du 7 janvier 2015 sans remonter aux dérives de l’islamisme : le wahhabisme, Salafisme, Tabligh, les Frères Musulmans, aux fondatalismes générateurs de la violence ?
L’inculture religieuse, selon nombre d’indices, affecte autant les établissements privés à profil confessionnel que l’école publique. Plusieurs indices montrent que l’ignorance, en ce domaine, est corrélée – à grande échelle – au niveau des études et non à l’origine religieuse des élèves ou à leur appartenance familiale.
Aujourd’hui, une minorité veut imposer sa conception littéraliste de l’islam. Un climat défaitiste pourrait dominer les intellectuels musulmans qui constatent que l’état courtise les imams au dépend d’un vrai espace laïc. Les recherches, sur le « Fait Religieux » permettant de comprendre comment déconstruire les thèses extrémistes prônées par les discours fondamentalistes, doivent produire un discours positif puisé dans les valeurs universelles et l’humanisme et la Laïcité. Ces concepts, dans la mission d’aumônier, sont une solution.
J’ai donc, depuis de longues années, créé un diaporama et 53 panneaux, tous en infographie, (dont 10 offert par la BNF–Paris), sur le Fait Religieux. Ces outils doivent être diffusés auprès du public, des enfants des lycées et des collèges. Il ne faut pas oublier que l’ignorance du facteur religieux, l’inculture sur l’islamisme, la méconnaissance de la laïcité, l’absence de formation des imams et des aumôniers, engendrent des fractures et sont à l’origine des problèmes que nous subissons actuellement.
Ces concepts cherchent à promouvoir le « Vivre Ensemble » parce qu’ils développent des outils sous un angle laïque, non confessionnel avec un principe fondamental, une stricte neutralité vis à vis des religions dans un grand respect des croyances. En abordant l’Histoire des Religions, le lien est fait avec l’ensemble des religions monothéistes.
Aujourd’hui, la menace d’attentats n’a jamais été aussi élevée, notamment en raison de l’implication de la France dans la lutte l’islamisme, contre Daesch. Ceux qui se sont radicalisés et partis en Syrie pour rejoindre le Daesch ou “Jabbat al Nosra”, se sont engagés dans des comportements mortifères, dans la cruauté, terreur et massacres.
Aujourd’hui, il faudrait que les imams, dans les mosquées, prêchent avec connaissances et en français le plus possible. Qu’ils informent avec pédagogie, du recensement de l’ensemble des aspects menant aux dérives, mais aussi de l’instruction civique et civile, de la laïcité et du respect de la France, notre pays !
Il faut savoir qu’actuellement, certaines mosquées, dépassées par les islamistes, entreprennent de porter plainte auprès de la Justice.
Un décret – loi est validation par le Ministère de l’Intérieur, rendant obligatoire la formation des imams et des aumôniers.
[1] Aumônier pénitentiare et aussi hospitalier, depuis 26 ans, je suis préoccupé par le « Vivre Ensemble » depuis de longues années. Dans les prisons, la population carcérale musulmane représente entre 50 et 60 % des détenus. Les détenus musulmans ne connaissent pas tous leur religion ; ils sont même nombreux à avoir oublié leur langue d’origine.
Madame Taubira, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, entourée de trois collaboratrices, m’a reçu à Paris le 6 janvier 2015. Durant l’entretien, je l’ai informée sur la marginalisation gravissime des quartiers et de l’insécurité ambiante dans certaines villes de Savoie et en dehors de la Savoie.
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Exposition des 43 panneaux de 60/80 sur le “Fait Religieux”
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A l’intention des Lycées, Collèges, Mairies, MJC, etc.